Amande Menthe Citronnelle BALMUNDER™

La sueur ne sent pas.

Il s’agit principalement d’eau, d’un peu de sel et de quelques infimes quantités d’autres déchets corporels. Les millions de glandes eccrines situées partout dans notre corps transpirent pour maintenir la température interne de notre corps.

En ce qui concerne les « pits-n-bits », différentes glandes sudoripares sont présentes ; on les appelle glandes apocrines. Ces glandes sécrètent une sueur plus laiteuse et de composition différente ; à savoir les graisses et les protéines. Les glandes apocrines sont situées dans les parties « herbeuses » du corps et sécrètent directement sur les follicules pileux.

Les bactéries vivent sur votre peau. Nous en avons des milliards dans et sur notre corps. Les bactéries qui vivent dans les parties « herbeuses » aiment grignoter la riche sueur des glandes apocrines. Les « restes » du festin des bactéries sont ce que nous associons aux odeurs corporelles. Les odeurs corporelles sont considérées comme mauvaises, ce qui est un peu triste car il est normal de sentir. En fait, le but principal des glandes apocrines est de vous donner votre propre puanteur distinctive.

Les déodorants réduisent simplement le nombre de bactéries. Cette réduction du nombre de bactéries dévorant votre sueur apocrine vous permet de moins sentir.

À l'inverse, les antisudorifiques n'affectent que vos glandes eccrines en évacuant la sueur, ce qui ne fait pas grand-chose, sauf vous garder au sec. Étant donné que la sueur des glandes apocrines de vos aisselles nourrit les bactéries et que les antisudorifiques ne font rien pour supprimer la production de ces glandes nourricières ; nous pensons qu'il vaut mieux transpirer !

L'aluminium contenu dans les antisudorifiques est totalement différent de l'aluminium contenu dans les tubes BALMUNDER.

Nous avons eu des inquiétudes de la part de nos clients selon lesquels l'aluminium est mauvais dans les déodorants et ils « ne peuvent pas croire que nous utilisons des tubes en aluminium pour cela ! » Nous comprenons leur inquiétude mais l'aluminium auquel ils font référence est complètement différent de l'aluminium qui compose nos tubes cosmétiques (pour en savoir plus sur nos tubes en aluminium, rendez-vous dans « Emballage » sur notre page de détails).

Le chlorhydrate d'aluminium est le sel d'aluminium présent dans les antisudorifiques. Ceci se produit lorsque l’aluminium réagit avec l’acide chlorhydrique. Ce sel a été conçu pour pénétrer dans les pores de vos aisselles et empêcher la transpiration. La « FDA déclare » qu'il est sans danger à des concentrations allant jusqu'à 25 % dans les antisudorifiques et exige que les fabricants d'antisudorifiques l'énumèrent sur leur étiquette comme sels d'aluminium, composés d'aluminium, chlorhydrate d'aluminium, etc… lisez toujours les étiquettes !

Bien qu'il existe des résultats négligeables selon lesquels une exposition à long terme à l'aluminium conduit à la maladie d'Alzheimer, aux cancers, aux problèmes rénaux et aux maladies osseuses, nous ne voulons pas le mettre sur nos aisselles, donc nous ne le mettrons pas non plus sur les vôtres.